Rappel salutaire, pour information, Reflexes et la CNT (syndicat pseudo anarchiste sis au 33, rue des Vignoles 20ème Paris), sont intimement liés. Ils sont les deux aspects d'un même organisme. Reflexes agit par la diffamation, la CNT par l'agression physique.
Dans la réalité, Reflexes, la CNT, sont de simples organes israéliens travaillant de concert avec les organisations de guerre sionistes, telles la Ligue de Défense Juive et le Bétar, que Reflexes dénonce pour la façade, comme Reflexes dénonce l'extrême-droite pour la façade, alors que son objet réel est de lutter contre toute organisation qui s'oppose au sionisme et à l'Etat d'Israël.
Personne ne feint même de s'étonner de la masse fantastique de documentation livrée par Reflexes sur son site http://reflexes.samizdat.net/, masse de documentation en tout genre (photographies, textes, analyses etc ...), que seule une administration policière étatique est en mesure de rechercher, de collationner, et de fournir.
Alors que d'évidence, les effectifs de Reflexes sont squelettiques, n'ayant même plus assez de participants pour assurer la confection de sa revue qui ne paraît plus depuis 2004, de même que son émission sur Radio-Libertaire, qui faute d'intervenants a cessée depuis plusieurs années.
Le CICP n'est qu'une façade formée d'associations soit naïves, soit achetées, servant à camoufler des organisations de guerre israéliennes, toutes déguisées en organisations de lutte contre le fascisme, ou contre l'extrême droite juive (LDJ et Bétar), ou de lutte pour le peuple palestinien (AFPS, UJFP, CCIPPP, Génération Palestine).
Il n'est pas étonnant que la direction du CICP garde le silence vis-à-vis de Reflexes, ce qui prouve que cette direction est très probablement dirigée elle-même par Israël.
Il est intéressant d'avoir découvert un véritable repaire des services spéciaux israéliens en plein coeur de Paris, qui de plus se dissimule derrière l'antifascisme et la lutte pour la survie du peuple palestinien.
Ci-après, voici la copie d'une protestation d'une des très rares organisations libertaire qui échappait à l'emprise sioniste, et qui pour cette raison était l'objet de l'agressivité de la CNT. Il s'agit de l'AGEN de Nanterre (ce document date d'il y a environ 3 ans).
Suivent des photographies de l'immeuble du CICP, là où demeure Reflexes, au 21ter rue Voltaire 11ème Paris (pour la promenade touristique). Cliquez sur le lien ci-dessous SVP :
http://www.aredam.net/cnt-reflexes-officines-israelienne.html
Vous pouvez aussi, de vous-même, aller visiter le siège de l'organisation israélienne CNT au 33 rue des Vignoles Paris 20ème, ligne du métro 2 (Nation - Porte Dauphine), descendre à Alexandre Dumas (faire attention, ils sont dangereux).
Protestation de l'AGEN :
DES ANARCHISTES D UN GENRE PARTICULIER: Lettre de l'Association Générale des Etudiants de Nanterre à l'Union Régionale CNT Région Parisienne
Lettre de l’Association Générale des Etudiants de Nanterre à l’ Union Régionale CNT Région Parisienne
Nous vous adressons cette lettre pour vous relater des faits graves et vous demander des explications concernant ces évènements. Nous effectuons cette démarche en raison des liens anciens existant entre nos organisations. Liens n’excluant évidemment pas des positionnements politiques différents mais qui jusqu’à présent étaient resté dans le cadre d’organisations se réclamant du même combat émancipateur.
Le mercredi 9 mai une manifestation était organisée par les différentes officines de l’extrême droite en France. Un appel à un rassemblement antifasciste était lancé par différentes organisations dont la CNT. Notre organisation a été contactée par différentes personnes dont des militants de la CNT pour participer à la manifestation antifasciste. Evidemment nous avons répondu positivement à cette demande. Le jour j nous nous rendons au rendez vous au CICP (21 ter Rue Voltaire) à 18 heures 30 pour préparer la manifestation de Saint Michel. Nous apprenons alors que la réunion se tient au local de la CNT Rue des Vignoles. Nous nous y rendons en toute confiance. Lorsque nous sommes entré au siège de la CNT, vers 19 heures, au moins une vingtaine de militants de la CNT nous ont salué dont les « anciens », le noyau du service d’ordre et les militants CNT de Nanterre ou encore ceux rencontré sur les batailles pour la libération des prisonniers révolutionnaires.
La réunion de préparation débouche sur l’idée qu’il fallait rester au local de la Rue des Vignoles pour le protéger et attendre de savoir ce que faisaient les fascistes. Pendant ce temps, trois cent à quatre cent personnes hors CNT dont des militants de notre organisation se regroupaient à Saint Michel pour manifester contre les fascistes. Nous décidons d’attendre nos renforts dans un café pas loin de la Rue des Vignoles. Vers 19 heures 30 notre porte parole accompagné de deux camarades retournent au local de la CNT pour prendre des nouvelles sur la suite de la mobilisation et proposer de rejoindre la manifestation de Saint Michel. Lorsque ces camarades arrivent au fond de l’impasse, quatre à cinq membres du service d’ordre entourent notre porte parole et commencent à le menacer et à agiter leurs casques.
Cette altercation est menée par un dénommé Tim qui s’adresse ainsi à notre porte parole, « qui c’est le mec de l’AGEN ? Il est où ? C’est toi ? (des membres du service d’ordre de la CNT lui désignent notre porte parole) Toi, je ne t’aime pas, je ne vous aime pas ! Tu as menacé ma mère, tu l’as insulté ! Vous êtes des antisémites ! Dégagez d’ici, vous n’avez rien à faire à la CNT, allez rejoindre les identitaires, vous êtes des fascistes, votre idéologie est plus proche de la leur que de la nôtre ».
Face à une telle provocation nous avons estimé préférable de quitter le local en espérant une réaction des responsables présents de la CNT. Malheureusement, la réaction ne fût pas celle que nous attendions. En effet, rejoints par nos camarades, nous restions devant le local en réclamant des éclaircissements pour savoir si cette provocation était individuelle ou cautionnée par la CNT. Nous demandions à des militants antifascistes présents sur place d’aller chercher des responsables de la CNT. Au bout de quinze minutes, alors que tous se concentraient sur les nouvelles de Saint Michel et craignaient une descente sur leur local, le responsable du service d’ordre de la CNT sort. Nous lui demandons alors s’il est au courant de ce qui est arrivé et ce qu’il en pense. Sa réponse est la suivante, « je suis au courant, je n’ai pas participé car je n’étais pas là lors de l’embrouille à l’origine, vous devez assumer vos positions politiques ». Nous quittons alors les lieux avec l’impression forte que tout cela est concerté.
Nous vous adressons cette lettre pour vous demander de prendre position sur les faits et les accusations gravissimes portées au sein même de votre local et cautionnées par des membres éminents de la CNT. Ces faits ne peuvent rester sans réponse.
Nous vous demandons de condamner les pratiques inacceptables des individus regroupés autour du dénommé Tim.
Nous vous demandons de vous positionner sur l’accusation publique d’antisémitisme portée contre notre organisation. Accusation qui n’a fait réagir aucun responsable présent de la CNT.
Nous vous demandons de nous expliquer comment et pourquoi nous nous sommes retrouvé menacé et accusé d’être des fascistes au cœur même de votre siège alors que nous sommes venus pour combattre les fascistes.
En attente d’une réponse rapide nous vous présentons nos salutations syndicales.
Agenparis10@hotmail.com
www.agen-nanterre.net
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